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Et si on laissait un peu plus de place au changement

Patricia Roques Salat • avr. 06, 2020

"L’esprit, c’est comme un parachute. Ça marche mieux quand c’est ouvert » Dalaï-Lama"

Si nous sommes définis en tant qu’homos sapiens sapiens ou bien encore en tant qu’homo-économicus ou bien même de socio-homo-économicus, notre cerveau n’a pas cessé d’évoluer. 
MacLean neurobiologiste a développé le concept de cerveau tri-unique dans son livre les « 3 cerveaux de l’homme ». Si nous descendons tous d’un ancêtre commun, nous avons vu au cours du temps la masse et le volume de notre cervelet se densifier pour donner ce que nous sommes aujourd’hui et ce en fonction des successives apparitions d’espèces animales vivantes sur terre. 

N’en demeure pas moins, que nous conservons et possédons en nous une partie de notre cerveau commune avec les premiers batraciens : le cerveau reptilien, 400 millions d’années. Il coordonne les fonctions vitales (respiration, rythme cardiaque, température,…) et est responsable des instincts et des réflexes innés tel que l’instinct, la fuite, la peur (comportements nommés primitifs).

Puis dans l’évolution, quand les mammifères sont apparus, s’est développé le cerveau limbique ou cerveau émotionnel âgé de 65 millions d’années. Il serait le siège de notre inconscient, de nos valeurs et croyances. Et, il mémorise tout nos comportements.  

Puis, le néocortex âgé de 3.5 millions d’années, qui présente une complexité inédite dans le cas de l'être humain. Il est impliqué dans les perceptions sensorielles, les commandes motrices volontaires, le raisonnement, la conscience, le langage
Est on disposé à sentir un lien avec l’ensemble du vivant, quand nous partageons plus de 98% de notre code génétique avec le chimpanzé ?
Nos émotions sont-elles alors innées, automatiques, universelles ? ou bien nos émotions sont-elles le fruit de changements internes à l’organisme du fait que « nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût diffèrent créent autant de vérité qu’il y a d’hommes sur terre » (Guy de Maupassant) ? ou bien encore notre état émotionnel prendrait il racine dans les règles enseignées ou imposées par la vie sociale. Nous avons tous joué au docteur, au maitre d’école, au gendarme et au voleur, à la marchande…comme nous avons tous exprimé de de la peur, de l’anxiété, de la jalousie, mais aussi de l’espoir, de l’amour, du courage. Enfant, nous intériorisons déjà le comportements des adultes et les histoires racontées. L’ensemble contribue à nous apprendre les « rôles émotionnels » (James Averill ).

Alors, votre cerveau est il une simple partie de vous-même ? Nos émotions sont-elles bien à nous ou sont-elles un ensemble de croyances ? Pouvons-nous élargir notre perception du monde ? Pouvons-nous faire plus de place au changement ?
Et si l’hypnose nous permettait de nous mettre en mouvement pour accéder à ce qu’on a envie d’être ?

par Patricia Roques Salat 31 août, 2020
Et si nous ne raisonnions plus à court terme mais à long terme en changeant nos habitudes et attitudes, perdant ainsi à bref délai nos défenses les mieux établies, pour adopter un autre mode de vie ? Et, ce n’est pas si compliqué que ça quand on pense aux avantages et aux bienfaits. Comment cela est-ce possible ? En hypnose à Nice, je vous invite, les yeux ouverts, à « ne rien faire, juste à être curieux ». Ne rien faire c’est se permettre de revenir au commencement, c’est-à-dire à ses propres ressources originelles. Et c’est l’opportunité de ne rien faire sans ressentir de culpabilité. Comme un nourrisson qui découvre et ouvre ses sens à ce qui l’entoure sans chercher à comprendre mais mettant les pensées et le passé hors d’état de nuire. Il ne s'agit plus de répondre à son objectif avec le mental mais avec ses ressources vitales (solutions insoupçonnées) pour révéler puis de dépasser ses réticences, ses résistances aux changements pour amorcer puis développer un équilibre nouveau dans son existence. 
M obiliser ses ressources vitales, c'est retrouver la confiance en ses propres moyens , c'est minimiser l'influence du passé, de l'autre, de la société, des contextes environnementaux. Et de dire en fin de séance « je me sens plus détendu.e, je me sens bien, plus calme… ». L'aboutissement est de se réapproprier son corps, de se réaligner avec soi-même : un peu comme avoir un point de repère en soi, dans sa vie. C’est s’offrir de « repartir à neuf lorsque rien ne va plus. » *. Il appartient donc à chacun de changer les choses qui lui déplaisent dans la mesure du possible pour retrouver du confort, une prise de position dans ce qui nous diminue dans notre quotidien, notre bonheur d'être vivant. *selon la formule de Gaston Brosseau, psychologue clinicien, cofondateur de l’Institut Milton Erickson de Montréal, formateur à l’Institut Français d’Hypnose.
par Patricia Roques-Salat 30 mars, 2020
Je vous propose bénévolement des séances à distance. Pour cela, il suffit : De vous trouver un endroit calme, assis et où vous pouvez déposer votre téléphone sur un support afin que nous puissions mutuellement nous voir et nous entendre. Il est souhaitable que je puisse vous voir en buste jusqu’à la ceinture. De vous connecter sur votre téléphone portable (smartphone) ou tablette à Messenger, WhatsApp... je vous appelle depuis le 0781460903. D’utiliser votre kit main libre (écouteur ou casque). Cette séance à distance répondra, bien entendu, aux règles déontologiques de notre profession qui, comme vous le savez, ne relève pas des professions réglementées. Elle ne se substitue en aucun cas à un acte médical ou à ses prescriptions. Patricia
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